Je te livre telles quelles les réactions que j’ai eu en découvrant, après quelques jours de vacances, toute la nouvelle série de photographies, (du 21 juillet au 06 août).
Authenticité.
Les récits photographiques proposés suscitent spontanément des émotions fortes, font naître en nous des sensations exaltantes, toujours renouvelées, grâce à la magie et à la beauté des lieux.
Qui n’aimerait pas gravir les monts de «AIN ALMOU » ? Qui n’aimerait pas se perdre dans les dédales boisés des Béni Znazen ? Qui n’aimerait pas faire une halte bénéfique dans l’oasis de Guefait ?
Profiter du paysage panoramique, qui s’étale à nos pieds, aussi loin que porte le regard, découvrir au delà des cimes des monts des Béni Znazen, un monde féerique, se désaltérer aux sources naturelles de cette majestueuse région, pour étancher, à la fois, la soif physiologique « visuelle » et culturelle ; cela doit être un plaisir rare et authentique. Les récipients, richement décorés aux motifs amazighs reconnaissables, juchés au rebord des puits n’attendent que le passager d’un jour ou de toujours, pour lui proposer une eau limpide et fraîche, quel signe d’accueil et d’hospitalité d’une société ouverte et généreuse.
Des sentiments, par pudeur, se cachent derrière des instantanées techniques, qu’il faudrait s’approprier pour pouvoir s’approcher de ce mode de vie « originelle », afin de comprendre la valeur culturelle, pragmatique et symbolique des « chemins » qui montent (Tarant Béni Mengouche), des « pistes cyclables » (Tarnant Imlit) des « sillages » tracés par l’homme à même le sol rugueux ( Izgher Oumghar) et des « routes » goudronnées (Berkane) combien importantes pour ces populations autochtones. Le thème de l’eau, source de vie, y est présent à travers l’oued, les chutes et la piscine de l’oasis de Guefait qui ne laisse insensible.
Je ne puis m’empêcher de commenter les photographies des bottes de foin (Sidi Brahim), qui renseignent, de manière directe, sur le labeur et le mode de vie des habitants, ce qui les valorise hautement et les rapproche encore plus de nous.
Que dire de plus !
Que de relever toute la tendresse et l’affection, l’attachement et l’enracinement de l’auteur dans ces contrées magnifiques et légendaires.
Amicalement. Ton ami Foudil de Constantine. Grande estime et Profond respect.
Je n’oublie pas d’adresser mes salutations à notre ami LAKLAK, tout en espérant qu’il profite largement de ses vacances.
2 commentaires:
Très cher ami Djamel bonjour,
Je te livre telles quelles les réactions que j’ai eu en découvrant, après quelques jours de vacances, toute la nouvelle série de photographies, (du 21 juillet au 06 août).
Authenticité.
Les récits photographiques proposés suscitent spontanément des émotions fortes, font naître en nous des sensations exaltantes, toujours renouvelées, grâce à la magie et à la beauté des lieux.
Qui n’aimerait pas gravir les monts de «AIN ALMOU » ?
Qui n’aimerait pas se perdre dans les dédales boisés des Béni Znazen ?
Qui n’aimerait pas faire une halte bénéfique dans l’oasis de Guefait ?
Profiter du paysage panoramique, qui s’étale à nos pieds, aussi loin que porte le regard, découvrir au delà des cimes des monts des Béni Znazen, un monde féerique, se désaltérer aux sources naturelles de cette majestueuse région, pour étancher, à la fois, la soif physiologique « visuelle » et culturelle ; cela doit être un plaisir rare et authentique.
Les récipients, richement décorés aux motifs amazighs reconnaissables, juchés au rebord des puits n’attendent que le passager d’un jour ou de toujours, pour lui proposer une eau limpide et fraîche, quel signe d’accueil et d’hospitalité d’une société ouverte et généreuse.
Des sentiments, par pudeur, se cachent derrière des instantanées techniques, qu’il faudrait s’approprier pour pouvoir s’approcher de ce mode de vie « originelle », afin de comprendre la valeur culturelle, pragmatique et symbolique des « chemins » qui montent (Tarant Béni Mengouche), des « pistes cyclables » (Tarnant Imlit) des « sillages » tracés par l’homme à même le sol rugueux ( Izgher Oumghar) et des « routes » goudronnées (Berkane) combien importantes pour ces populations autochtones.
Le thème de l’eau, source de vie, y est présent à travers l’oued, les chutes et la piscine de l’oasis de Guefait qui ne laisse insensible.
Je ne puis m’empêcher de commenter les photographies des bottes de foin (Sidi Brahim), qui renseignent, de manière directe, sur le labeur et le mode de vie des habitants, ce qui les valorise hautement et les rapproche encore plus de nous.
Que dire de plus !
Que de relever toute la tendresse et l’affection, l’attachement et l’enracinement de l’auteur dans ces contrées magnifiques et légendaires.
Amicalement.
Ton ami Foudil de Constantine.
Grande estime et Profond respect.
Je n’oublie pas d’adresser mes salutations à notre ami LAKLAK, tout en espérant qu’il profite largement de ses vacances.
> Foudil :
شكراً جزيلاً، صديقي فوضيل ... أرجو أن تكون قد قضيت أوقاتاً مريحةً و ممتعةً ... مع التحية والتقدير
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