« Nous sommes tous, d’une façon ou d’une autre, 3ala difaf un Oued ».
La photographie du cimetière (Celle du 1er mars) a eu un effet bouleversant sur moi d’où cette réaction.
Devoir de mémoire.
La photographie qui représente le cimetière m’a émue jusqu’aux larmes.
Elle dénote du devoir de mémoire et de recueillement, elle est pleine de réalisme, dans le sens d’une description objective et sans illusions de la réalité. La mort c’est vrai, c’est la fin d'une vie sur terre, elle nous nous enlève nos amis, nos proches, cependant, il est dit que tout ce qui vit meurt et tout ce qui meurt est vivant.
Nous finirons tous par mourir, un jour ou l’autre, et comme dit la chanson « nous irons tous au paradis ».
Je dirai peut-être ? En tant qu’optimiste. Ou In Cha Allah ! En tant que croyant.
Cette photographie nous met, en effet, face à une âpre réalité, elle ravive notre douleur des proches perdus,et elle nous rappelle, entre autre, notre état de simple mortel, qu’on a tendance à oublier avec le temps;elle nous rapproche de notre état d’humain sur cette terre. Ce devoir de mémoire et de recueillement, que l’on doit aux morts, fait partie de notre culture, ne dit-on pas que les morts ne seront morts que lorsqu’on les aura totalement oubliés, et par ton travail, tu les mets en avant de la scène, ils ne sont pas ignorés, ils sont vivants dans nos mémoires et dans nos cœurs.
Nos recommandations culturelles et nos croyances cultuelles, nous imposent un respect de la mort et des morts, afin de relativer notre présence éphémère sur cette terre.
Alors là où on ira, après la mort, nul ne le saura, sauf le gardien des cieux, mais ceux qui restent ici-bas, que garderont-ils de nous ? L’important n’est-il pas de marquer notre passage sur terre ?
Grande question s’il en est !
Que tous nos morts reposent en paix, et qu’ils retrouvent un la quiétude dans un éternel paradis.
Petite remarque personnelle : Même avec ses herbes en folie, le cimetière sur la photo est beau et ses pierres tombales d’une éclatante blancheur.
PS : 1
Un petit poème en hommage à un être très cher que j’ai perdu le 10 juin 1988.
A toi, Très adorable « NINA », Dame de cœur, Femme généreuse, De goût et de noblesse, Ta présence est parmi nous, Plus que jamais.
« NINA »
Même, Si la vie nous a séparé, S’est brusquement arrêtée.
Même Si « La mort » c’est imposée, Avec ses droits infinis,
Même, Comme tu disais, « Je ne peux plus vivre », « Qu’il était trop tard »,
Même, Qu’il était temps, Qu’on se dise au revoir ;
Même, Qu’il fallait se préparer, Au grand départ,
Même, Comme tu le répétais, « Je vous aime mais je pars »,
Même, Comme tu le susurrais, « Je n'ai aucun regret », « J’ai vécu mon temps »,
Mais, DIEU, Le suprême l’a voulu, Tu es parti, Comme tu es venu, Sans vêtements, Les mains vides, Les pieds nus, Le cœur léger, La conscience éclairée,
Depuis, Mes larmes ont tellement coulé, Mon coeur a brûlé, Mon âme ne s’est jamais résolue,
Moi, Ton fils chéri, Je continue, Après tout, A te chérir, A t’aimer,
Pour toujours, Et à jamais.
PS : 2
Il est vraiment rare de retrouver une quelconque représentation de cimetières, dans des blogs qui glorifient la vie, cela ne veut aucunement dire que ton blog est funèbre, bien au contraire, tu célèbres la vie, dans toute sa splendeur, sans pour autant ignorer la mort. C’est geste d’une haute valeur morale. C’est l’apanage des « grands » je dirai !
Amicalement. Ton ami Foudil de Constantine. De plus en plus d’estime, De plus en plus de respect.
Mes amitiés, plus que vivantes, à notre ami « LAKLAK ».
2 commentaires:
Mon très cher ami Djamel bonjour,
« Nous sommes tous,
d’une façon ou d’une autre,
3ala difaf un Oued ».
La photographie du cimetière (Celle du 1er mars) a eu un effet bouleversant sur moi d’où cette réaction.
Devoir de mémoire.
La photographie qui représente le cimetière m’a émue jusqu’aux larmes.
Elle dénote du devoir de mémoire et de recueillement, elle est pleine de réalisme, dans le sens d’une description objective et sans illusions de la réalité.
La mort c’est vrai, c’est la fin d'une vie sur terre, elle nous nous enlève nos amis, nos proches, cependant, il est dit que tout ce qui vit meurt et tout ce qui meurt est vivant.
Nous finirons tous par mourir, un jour ou l’autre, et comme dit la chanson « nous irons tous au paradis ».
Je dirai peut-être ? En tant qu’optimiste.
Ou In Cha Allah ! En tant que croyant.
Cette photographie nous met, en effet, face à une âpre réalité, elle ravive notre douleur des proches perdus,et elle nous rappelle, entre autre, notre état de simple mortel, qu’on a tendance à oublier avec le temps;elle nous rapproche de notre état d’humain sur cette terre.
Ce devoir de mémoire et de recueillement, que l’on doit aux morts, fait partie de notre culture, ne dit-on pas que les morts ne seront morts que lorsqu’on les aura totalement oubliés, et par ton travail, tu les mets en avant de la scène, ils ne sont pas ignorés, ils sont vivants dans nos mémoires et dans nos cœurs.
Nos recommandations culturelles et nos croyances cultuelles, nous imposent un respect de la mort et des morts, afin de relativer notre présence éphémère sur cette terre.
Alors là où on ira, après la mort, nul ne le saura, sauf le gardien des cieux, mais ceux qui restent ici-bas, que garderont-ils de nous ?
L’important n’est-il pas de marquer notre passage sur terre ?
Grande question s’il en est !
Que tous nos morts reposent en paix, et qu’ils retrouvent un la quiétude dans un éternel paradis.
Petite remarque personnelle :
Même avec ses herbes en folie, le cimetière sur la photo est beau et ses pierres tombales d’une éclatante blancheur.
PS : 1
Un petit poème en hommage à un être très cher que j’ai perdu le 10 juin 1988.
A toi,
Très adorable « NINA »,
Dame de cœur,
Femme généreuse,
De goût et de noblesse,
Ta présence est parmi nous,
Plus que jamais.
« NINA »
Même,
Si la vie nous a séparé,
S’est brusquement arrêtée.
Même
Si « La mort » c’est imposée,
Avec ses droits infinis,
Même,
Comme tu disais,
« Je ne peux plus vivre »,
« Qu’il était trop tard »,
Même,
Qu’il était temps,
Qu’on se dise au revoir ;
Même,
Qu’il fallait se préparer,
Au grand départ,
Même,
Comme tu le répétais,
« Je vous aime mais je pars »,
Même,
Comme tu le susurrais,
« Je n'ai aucun regret »,
« J’ai vécu mon temps »,
Mais,
DIEU,
Le suprême l’a voulu,
Tu es parti,
Comme tu es venu,
Sans vêtements,
Les mains vides,
Les pieds nus,
Le cœur léger,
La conscience éclairée,
Depuis,
Mes larmes ont tellement coulé,
Mon coeur a brûlé,
Mon âme ne s’est jamais résolue,
Moi,
Ton fils chéri,
Je continue,
Après tout,
A te chérir,
A t’aimer,
Pour toujours,
Et à jamais.
PS : 2
Il est vraiment rare de retrouver une quelconque représentation de cimetières, dans des blogs qui glorifient la vie, cela ne veut aucunement dire que ton blog est funèbre, bien au contraire, tu célèbres la vie, dans toute sa splendeur, sans pour autant ignorer la mort.
C’est geste d’une haute valeur morale.
C’est l’apanage des « grands » je dirai !
Amicalement.
Ton ami Foudil de Constantine.
De plus en plus d’estime,
De plus en plus de respect.
Mes amitiés, plus que vivantes, à notre ami « LAKLAK ».
> Foudil :
الفراق مرّ و صعب ... الله يرحم أحبابنا الذين يسكنون قلوبنا
...
مع تحيّاتي الحارّة
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