Ce que tu proposes ne laisse pas indifférent, après la dégustation visuelle, il pousse à la réaction et à la réflexion.
LE METIER A TISSER.
Les photographies, du 4 mars, je les trouve admirables. Dans les deux premières photographies c’est ta touche personnelle qui ressort avec ravissement, le coté technique est tellement réussi dans « Ti3lawin » qu’on y adhère facilement à la chose représentée et surtout à ses référents. Dans « Derraz » c ‘est une évocation un peu détachée mais forte d’un noble et respectueux métier.
Le tableau, de Zakia Margoum, quant à lui est plein de symbolisation et de réalisme.
Autant le renvoi à la vie quotidienne par tes photos est fort ; Autant la répercussion vers un univers pictural descriptif de la vie à travers « Zakia Margoum » est superbe.
Cette combinaison de l’œuvre de l’artiste et tes photographies est magnifique, elle met en avant et bien à propos des éléments de notre patrimoine local, et des pratiques culturelles qui ont tendance malheureusement à se perdre, du moins en Algérie, ou elles se pratiquent de moins en moins et c’est dommage.
Ce que vous nous proposez ainsi à voir « ZAKIA MARGOUM » et toi relève d’une une nostalgie bien vécue, et d’un attachement respectable et sobre à toute un culture, non pas seulement, régionale ou maghrébine mais universelle.
En conclusion, cela préfigure-il de la lente disparition des ses pratiques et de ses métiers séculaires ?
« On y remettra, avec patience et ardeur, autant de fois qu’il le faudrait l’ouvrage sur le métier, et que vive tous les métiers à tisser du monde entier » devrait-on dire !
Amicalement. Ton ami Foudil de Constantine. Estime et respect.
2 commentaires:
Très cher ami Djamel bonjour,
Ce que tu proposes ne laisse pas indifférent, après la dégustation visuelle, il pousse à la réaction et à la réflexion.
LE METIER A TISSER.
Les photographies, du 4 mars, je les trouve admirables.
Dans les deux premières photographies c’est ta touche personnelle qui ressort avec ravissement, le coté technique est tellement réussi dans « Ti3lawin » qu’on y adhère facilement à la chose représentée et surtout à ses référents.
Dans « Derraz » c ‘est une évocation un peu détachée mais forte d’un noble et respectueux métier.
Le tableau, de Zakia Margoum, quant à lui est plein de symbolisation et de réalisme.
Autant le renvoi à la vie quotidienne par tes photos est fort ;
Autant la répercussion vers un univers pictural descriptif de la vie à travers « Zakia Margoum » est superbe.
Cette combinaison de l’œuvre de l’artiste et tes photographies est magnifique, elle met en avant et bien à propos des éléments de notre patrimoine local, et des pratiques culturelles qui ont tendance malheureusement à se perdre, du moins en Algérie, ou elles se pratiquent de moins en moins et c’est dommage.
Ce que vous nous proposez ainsi à voir « ZAKIA MARGOUM » et toi relève d’une une nostalgie bien vécue, et d’un attachement respectable et sobre à toute un culture, non pas seulement, régionale ou maghrébine mais universelle.
En conclusion, cela préfigure-il de la lente disparition des ses pratiques et de ses métiers séculaires ?
« On y remettra, avec patience et ardeur, autant de fois qu’il le faudrait l’ouvrage sur le métier, et que vive tous les métiers à tisser du monde entier » devrait-on dire !
Amicalement.
Ton ami Foudil de Constantine.
Estime et respect.
> Foudil :
محترفو الحياكة التقليدية نادرون في مدينتي و قراها
...
شكرا على تعليقاتك الهامة و المثابرة
...
مع تحياتي
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