Mes ancêtres, mes aïeuls de nobles guerriers, Ils ont semé de l’orge, de l’avoine et des blés, Les blés, au milieu des contrées ont germé, Ces blés magiques pour moisson ont donné, Des femmes de toute beauté, Des enfants fieffés, Des hommes braves, pleins de bonté.
Mes ancêtres, mes aïeuls de fougueux guerriers, Leurs blés de terre et de sang mêlés, Résistants aux vents du sud agités, Balayés par de puissants alizés, Leurs épis aux couleurs dorées, Longs, étendus, de graines chargés, Ces blés ont rassasié des enfants affamés, Comblés des femmes choyées, Prodiguer des forces à des hommes redoutés.
Mes ancêtres et mes aïeuls, de braves gens, Habitants les cimes et les monts, Ils ont plantées des arbres fruitiers, De gigantesques amandiers fleuris, Des oliviers géants séculiers, Aux fruits charnus, au nom particulier Œil de boeuf, noire ou verte olive, Ainsi nommés ces fruits des arbres noués, Dans les champs de coquelicots parsemés, Donnent une huile vierge et ambrée, Un miel de mille fleurs chargé,
Mes ancêtres, mes aïeuls ces fiers patriarches, Meurtris par les charges largement assumées, Intrépides, valeureux et hardis, Les cheveux tressés, la barbe fournie, Le regard franc, honnête, et exquis, Après le dur labeur accompli, Loin, Très loin, De leurs petits, et arrières petits, Ils sont partis se reposer, Ces hommes vaillants, Heureux, Le front levé, Le devoir rempli, La conscience éprouvée, Tels sont mes ancêtres, Mes aïeuls Ces preuxs chevaliers.
Ce qu’il y a de déterminant, à priori, dans ces nouvelles représentions, c’est l’apparition furtive et élégante de l’élément humain.
Au premier plan on découvre, bien qu’elles veuillent se faire discrètes, mais on ne voit qu’elles ; ces MAINS, belles,ornées de henné,ridées et tannées par la vie et le temps, elles sont si appétissantes de santé, de mémoire, chaleureuses et accueillantes comme un nid douillet.
En présentant les poussins à l’objectif de l’appareil, dans un geste auguste, elles couvent tendrement, naturellement ces poussins ; Elle illustre bien à propos l’instinct maternel et démontre le fond humain de l’individu.
On espère d’autres « shots » à l’identique, plus encore et beaucoup plus encore…….
Toute mon amitié et mon estime. Ton ami Foudil de Constantine.
3 commentaires:
A toi
mon cher ami Djamel.
Mes ancêtres , Mes aïeuls.
Mes ancêtres, mes aïeuls de nobles guerriers,
Ils ont semé de l’orge, de l’avoine et des blés,
Les blés, au milieu des contrées ont germé,
Ces blés magiques pour moisson ont donné,
Des femmes de toute beauté,
Des enfants fieffés,
Des hommes braves, pleins de bonté.
Mes ancêtres, mes aïeuls de fougueux guerriers,
Leurs blés de terre et de sang mêlés,
Résistants aux vents du sud agités,
Balayés par de puissants alizés,
Leurs épis aux couleurs dorées,
Longs, étendus, de graines chargés,
Ces blés ont rassasié des enfants affamés,
Comblés des femmes choyées,
Prodiguer des forces à des hommes redoutés.
Mes ancêtres et mes aïeuls, de braves gens,
Habitants les cimes et les monts,
Ils ont plantées des arbres fruitiers,
De gigantesques amandiers fleuris,
Des oliviers géants séculiers,
Aux fruits charnus, au nom particulier
Œil de boeuf, noire ou verte olive,
Ainsi nommés ces fruits des arbres noués,
Dans les champs de coquelicots parsemés,
Donnent une huile vierge et ambrée,
Un miel de mille fleurs chargé,
Mes ancêtres, mes aïeuls ces fiers patriarches,
Meurtris par les charges largement assumées,
Intrépides, valeureux et hardis,
Les cheveux tressés, la barbe fournie,
Le regard franc, honnête, et exquis,
Après le dur labeur accompli,
Loin,
Très loin,
De leurs petits, et arrières petits,
Ils sont partis se reposer,
Ces hommes vaillants,
Heureux,
Le front levé,
Le devoir rempli,
La conscience éprouvée,
Tels sont mes ancêtres,
Mes aïeuls
Ces preuxs chevaliers.
Foudil de Constantine.
Très cher ami Djamel bonjour.
Les petits poussins dans les mains de « LALLA ».
Ce qu’il y a de déterminant, à priori, dans ces nouvelles représentions, c’est l’apparition furtive et élégante de l’élément humain.
Au premier plan on découvre, bien qu’elles veuillent se faire discrètes, mais on ne voit qu’elles ; ces MAINS, belles,ornées de henné,ridées et tannées par la vie et le temps, elles sont si appétissantes de santé, de mémoire, chaleureuses et accueillantes comme un nid douillet.
En présentant les poussins à l’objectif de l’appareil, dans un geste auguste, elles couvent tendrement, naturellement ces poussins ;
Elle illustre bien à propos l’instinct maternel et démontre le fond humain de l’individu.
On espère d’autres « shots » à l’identique, plus encore et beaucoup plus encore…….
Toute mon amitié et mon estime.
Ton ami Foudil de Constantine.
> Foudil :
شعر جميل تكريما لأسلافنا الأفاضل
...
ان تلك الكتاكيت تدعوني الى الشعر
لكن العبارة عصية و الصورة مسعفة
...
مع التحية و التقدير
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