Je t’envoie une version améliorée du poème « Sunset Milli » qui doit remplacer la première .
« SUNSET MILLI »
Je dis haut et fort, Les jours chaleureux, Au milieux des miens, Les jours heureux, Chargés de souvenirs, Pleins de reminescence, Au gré des humeurs, De passagères mélancolies, D’existentielles nostalgies, A « Sunset Milli » Je me remémore, Les fruits défendus, Les nuits fraîches de « Milli », Où coule une eau turbulente, Qui étanche les soifs de vivre, A «Sunset Milli » Mon cœur ne peut expirer, Il reprend jusqu'à en mourir, Les élixirs purs de l’éden, Faits à « Sunset Milli » Montrez moi « Milli », Ce petit paradis, À la tombée du jour, Pour que mon cœur, Respire très fort, Les joies à vivre, Tous les jours, Encore et toujours, A « Sunset milli », Ma mémoire, Se livre, se délivre, S’abondonne, Au gré des images retrouvées, Et invente des figurines oubliées, De velours et de papiers, De rêves magnifiés, Ma jeunesse se déploie, Au gré des grands vents, Au delà des mers turquoises, Des océans grisés, Ma vision va au delà de ces horizons, Découvrir des pays lointains, Qui n’ont jamais connu les fêtes, Où s’avoisinent, « Gasba » affolées, « Arfa » maîtrisée, Comme à « Milli », Ces couleurs palpables, Qui ne sont réel qu’a « Milli » On y décerne une panoplie, Du sombre au jaune canari,
Faut-il venir à « Sunset milli », Faut–il revenir à « Sunset Milli », Faut-il réinventer « Sunset Milli »,
Pour goûter puis savourer, La joie de vivre, la gaieté, Les espoirs de la famille, Le bonheur et l’honneur, De la glorieuse dynastie, Des « BNI ZNASSEN » les bénis,
Dans mes hameaux fondus, Aux les décors léchés, Mes villages accrochés, Aux hauteurs infinies, Mes enfants en tenues, Tous de rouge vêtus, Mes vivantes tribus, A cœur perdus, Dans les espaces étendus, De « Milli », Si « Sunset Milli », N’était que hallucinations vives, Visions collectives, Troubles olfactifs, Il aurait fallu, Que je meure, Pour qu’existe, Pour que s’incruste, Dans les mémoires, À jamais, Mon village adoré, Ce « douar » tant aimé, Qu’on appelle, Le sublisime, « HASSI MILLI ».
Foudil de Constantine.
Ce poème est dédié à mon ami Djamel El Khelladi, et à tous les habitants de « HASSI MILLI ».
أشكرك جزيل الشكر أصالة عن نفسي، و نيابةً عن الحاسي و ذويه ... ورد في أشعار السياب ذكر نهير اسمه بويب تحسبه جدولاً أسطوريا لكنك إذا زرته وجدته كغيره في البلاد القاحلة ضامر الضفاف تئنّ فيه الجنادب و الأحجار ... إنه الشعر : يجمّل الأشياء ...
2 commentaires:
Cher ami Djamel,
Je t’envoie une version améliorée du poème « Sunset Milli » qui doit remplacer la première .
« SUNSET MILLI »
Je dis haut et fort,
Les jours chaleureux,
Au milieux des miens,
Les jours heureux,
Chargés de souvenirs,
Pleins de reminescence,
Au gré des humeurs,
De passagères mélancolies,
D’existentielles nostalgies,
A « Sunset Milli »
Je me remémore,
Les fruits défendus,
Les nuits fraîches de « Milli »,
Où coule une eau turbulente,
Qui étanche les soifs de vivre,
A «Sunset Milli »
Mon cœur ne peut expirer,
Il reprend jusqu'à en mourir,
Les élixirs purs de l’éden,
Faits à « Sunset Milli »
Montrez moi « Milli »,
Ce petit paradis,
À la tombée du jour,
Pour que mon cœur,
Respire très fort,
Les joies à vivre,
Tous les jours,
Encore et toujours,
A « Sunset milli »,
Ma mémoire,
Se livre, se délivre,
S’abondonne,
Au gré des images retrouvées,
Et invente des figurines oubliées,
De velours et de papiers,
De rêves magnifiés,
Ma jeunesse se déploie,
Au gré des grands vents,
Au delà des mers turquoises,
Des océans grisés,
Ma vision va au delà de ces horizons,
Découvrir des pays lointains,
Qui n’ont jamais connu les fêtes,
Où s’avoisinent,
« Gasba » affolées,
« Arfa » maîtrisée,
Comme à « Milli »,
Ces couleurs palpables,
Qui ne sont réel qu’a « Milli »
On y décerne une panoplie,
Du sombre au jaune canari,
Faut-il venir à « Sunset milli »,
Faut–il revenir à « Sunset Milli »,
Faut-il réinventer « Sunset Milli »,
Pour goûter puis savourer,
La joie de vivre, la gaieté,
Les espoirs de la famille,
Le bonheur et l’honneur,
De la glorieuse dynastie,
Des « BNI ZNASSEN » les bénis,
Dans mes hameaux fondus,
Aux les décors léchés,
Mes villages accrochés,
Aux hauteurs infinies,
Mes enfants en tenues,
Tous de rouge vêtus,
Mes vivantes tribus,
A cœur perdus,
Dans les espaces étendus,
De « Milli »,
Si « Sunset Milli »,
N’était que hallucinations vives,
Visions collectives,
Troubles olfactifs,
Il aurait fallu,
Que je meure,
Pour qu’existe,
Pour que s’incruste,
Dans les mémoires,
À jamais,
Mon village adoré,
Ce « douar » tant aimé,
Qu’on appelle,
Le sublisime,
« HASSI MILLI ».
Foudil de Constantine.
Ce poème est dédié à mon ami Djamel El Khelladi, et à tous les habitants de « HASSI MILLI ».
أشكرك جزيل الشكر أصالة عن نفسي، و نيابةً عن الحاسي و ذويه
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ورد في أشعار السياب ذكر نهير اسمه بويب تحسبه جدولاً أسطوريا لكنك إذا زرته وجدته كغيره في البلاد القاحلة ضامر الضفاف تئنّ فيه الجنادب و الأحجار ... إنه الشعر : يجمّل الأشياء ...
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